Quinzaine de la Solidarité Internationale 2025 : Agir ensemble pour une santé universelle

À l’occasion de l’édition 2025 de la Quinzaine de la Solidarité Internationale, la Ville de Bruxelles met à l’honneur un enjeu crucial : « La santé pour toutes et tous ». Un droit fondamental qui reste, à ce jour, inégalement respecté à travers le monde. Du 30 septembre au 13 octobre, cette Quinzaine sera un temps fort pour sensibiliser, comprendre et agir autour de l’Objectif de Développement Durable n°3, qui vise à garantir l’accès à la santé et au bien-être pour chacun·e. Entre crises sanitaires, inégalités d’accès, défis climatiques, maladies négligées et problèmes de financement, les discussions mettront en lumière les grands enjeux actuels et les pistes pour un avenir plus équitable. Conférences, ateliers, projections, débats et rencontres rythmeront ces deux semaines d’échanges, d’apprentissage et de mobilisation. L’événement s’ouvrira par une réception officielle le mardi 30 septembre 2025, en présence du Bourgmestre de la Ville et de la présidente de BRISSI ASBL, Lydia Mutyebele Ngoi, avec des interventions de la Dr Leïla Belkhir (UCLouvain) et du Dr Dirk Lafaut (VUB). Mardi 30 septembre 2025 Salle Gothique de l’Hôtel de Ville 1 Grand’ Place 1000 Bruxelles PROGRAMME 19h00 : Ouverture des portes 19h15 : Mot d’accueil du Bourgmestre de la Ville 19h30 : Échanges avec la Dr Leïla Belkhir, infectiologue aux Cliniques Universitaires Saint-Luc et professeure à l’ UCLouvain et Dr Dirk Lafaut, chercheur à la VUB et docteur en médecine et en philosophie/éthique 20h30 : Questions-réponses avec le public 21h00 – 22h00 : Boisson

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Santé : Un traitement révolutionnaire contre le VIH bientôt accessible à moindre coût

Un nouveau médicament contre le VIH, le Lenacapavir, sera bientôt disponible à un prix abordable dans plus de 120 pays à faible revenu. Cette injection, qui doit être administrée deux fois par an, pourrait remplacer la PrEP, le traitement oral actuel, et réduire significativement les nouvelles infections. Comment fonctionne le Lenacapavir ? Le Lenacapavir empêche le virus du VIH de se répliquer dans les cellules, offrant ainsi une protection durable contre l’infection. Ce médicament a montré des résultats très positifs lors des essais cliniques et a déjà été approuvé par la FDA et la Commission européenne. Un prix abordable pour les pays à faible revenu Grâce à un accord historique négocié par la Fondation Clinton et la Fondation Gates avec l’industrie pharmaceutique, le Lenacapavir sera disponible à un prix réduit de 40 dollars par an dans les pays à faible revenu. C’est une réduction spectaculaire par rapport au prix initial de 28 000 dollars par an. Impact sur la lutte contre le VIH Ce traitement pourrait sauver des millions de vies, en particulier parmi les populations vulnérables telles que les jeunes femmes, les LGBT, les travailleurs du sexe et les toxicomanes. Selon une étude, élargir l’accès à cette injection pourrait prévenir jusqu’à 20 % des nouvelles infections. Les chiffres alarmants du VIH – Plus de 40 millions de personnes vivent avec le VIH dans le monde – Environ 1,3 million de nouvelles infections chaque année – Plus de 600 000 personnes meurent chaque année du sida Les pays bénéficiaires L’Afrique du Sud, avec près de huit millions de cas de VIH, sera parmi les premiers pays à bénéficier de ce traitement à coût réduit. D’autres pays à faible revenu pourront également accéder à ce médicament grâce à cet accord. Faites un DON pour Nous soutenir en cliquant sur le lien https://senxeweul.com/donation/

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Santé : Le Lyrica, une « drogue du pauvre » qui inquiète en Belgique

Le Lyrica, un médicament contenant de la prégabaline, est de plus en plus détourné de son usage médical pour devenir une drogue récréative prisée en Belgique, notamment à Liège. Ce médicament, normalement prescrit pour traiter l’épilepsie, les troubles anxieux et les douleurs neuropathiques, peut provoquer des effets euphorisants et relaxants lorsqu’il est associé à d’autres substances. Un marché noir en plein essor Les pharmacies de Liège constatent une hausse des demandes de Lyrica, et les autorités ont déjà saisi plus de 550 000 comprimés en deux ans. Le médicament se vend à environ un euro le cachet sur le marché noir, ce qui le rend accessible aux personnes précaires. Selon Hélène Gorria, directrice de VPharma, la surconsommation de Lyrica est un phénomène qui dure depuis plusieurs années, avec une augmentation de 40% des quantités consommées en Europe depuis 2016. Des risques pour la santé La consommation de Lyrica comme drogue peut entraîner des effets indésirables graves, tels que des troubles de la mémoire, des nausées, des vomissements et des réactions allergiques. Lorsqu’il est associé à d’autres substances, le Lyrica peut provoquer des effets encore plus dangereux, comme la perte de conscience et les hallucinations. Selon l’INAMI, les doses quotidiennes moyennes des plus gros consommateurs belges atteignent 12 774 mg, soit 43 fois la quantité recommandée. Une responsabilité partagée Pour Lou Richelle, médecin généraliste, la responsabilité de ce phénomène est partagée entre les médecins qui prescrivent trop facilement ce médicament et les patients qui pratiquent le « shopping médical » pour accumuler les prescriptions. La docteure souligne l’importance de la prudence et de la vigilance des pharmaciens et des médecins dans la prescription de ces médicaments. Lutter contre le détournement du Lyrica Pour lutter contre ce phénomène, il est essentiel de : Sensibiliser les médecins aux risques de détournement du Lyrica Limiter les prescriptions et vérifier l’authenticité des ordonnances Contrôler les identités des patients et signaler les cas suspects Informer les usagers des risques liés à la consommation de Lyrica comme drogue et leur proposer des alternatives thérapeutiques. Faites un DON pour Nous soutenir en cliquant sur le lien https://senxeweul.com/donation/

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RDC-Santé : Au moins seize personnes ont perdu la vie à cause d’une récente épidémie d’Ebola

Une nouvelle épidémie d’Ebola a été déclarée par la République démocratique du Congo. Elle est en cours dans la région du Kasaï et a déjà causé la mort d’au moins 16 personnes depuis août, selon le rapport des autorités de santé. Des agents de santé sont inclus parmi les victimes. Les tests effectués mercredi sur des échantillons ont confirmé l'existence de la souche zaïre. L'Organisation mondiale de la santé met en garde contre une possible hausse des infections. Et appelle à une réaction immédiate, précisant que le pays avait une réserve de traitement. Plus de 2 000 doses de vaccins seront envoyées dans la province affectée par la maladie. Il s'agit de la seizième épidémie d'Ebola répertoriée en RDC. La contagion se fait par le biais des sécrétions corporelles et elle se manifeste par des vomissements, des fièvres, des hémorragies et de la diarrhée. Entre 2018 et 2020, elle a ôté la vie à plus de 2 000 individus en RDC. Faites un DON pour Nous soutenir en cliquant sur le lien https://senxeweul.com/donation/

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